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Les anciens villages.
Outre Mirefleurs, deux hameaux (Chalendrat et le Bateau) présentent un intérêt historique.
Les fouilles archéologiques ont montré l'existence, au nord de Mirefleurs, de deux sites (campements) occupés, à l'époque préhistorique,
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De ce village d'origine gallo-romaine, siège de la paroisse jusqu'à la fin du XVI° siècle, date à laquelle subsistent encore l'église et le cimetière, il ne reste aucun vestige.
Dans l'enceinte d'un château, propriété du père de George Onslow, célèbre compositeur, on peut voir un superbe colombier cylindrique.
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Le nom de ce hameau du bord de l'Allier qui comptait plusieurs auberges est lié à l'existence d'un bac qui permettait de franchir la rivière, dés la deuxième moitié du XV° siècle, et jusqu'à la construction d'un pont métallique en 1888.
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Le village s'est développé en arrière du château médiéval des Comtes d'Auvergne construit sur la corniche basaltique. Une tour en bon état (XIII° siècle) est encore visible ainsi que des pans de l'enceinte fortifiée entourant une propriété de l'ordre de 2,5 ha comportant un manoir et une chapelle castrale devenue église paroissiale.
Ce nouveau village développé peu à peu aux dépens de Chalendrat porte le nom de Châteauneuf-sur-Allier jusqu'en 1470, date à laquelle il devient Mirefleurs sur décision de Louis XI à la demande du seigneur local. De l'enceinte flanquée de sept tours qui le protégeait, il ne reste aucun témoin. Des éléments d'architecture médiévale sont présents en divers points du bourg, à proximité du château mais aussi dans des secteurs plus éloignés.
L'activité viticole transparaît à travers les escaliers extérieurs et les entrées de cuvages dispersés un peu partout. Rue de la Cure, une petite maison vigneronne typique a été restaurée.
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Enceinte du château comtal et ses oculi
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fief des grenouilles, rainettes et crapauds au printemps. |
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(voir patrimoine naturel)
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Murale et richement décorée, elle porte gravée la liste des élus en 1893.
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Il comporte deux ensembles, l'un constitué de puits disposés à travers un bras mort, l'autre de puits alignés parallèlement au cours de l'Allier à proximité de la rive.
mais n'est plus en activité aujourd'hui.
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remarquable par sa facture exceptionnelle. Curieuse croix latine, elle est drapée d'un long tissu affecté de nombreux plis.
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En bon état, associés à des constructions en ruines, proches de la route qu'ils surplombent, ils sont dominés par d'anciennes carrières qui fournissaient la matière première. Ouverts semble-t-il dans les années 1870, leur activité a cessé vers 1945. |
Un gueulard
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Un four |
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Entrée d'une galerie
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A mi-chemin entre le village et l'ancien étang, en rive droite sur un versant dépourvu de végétation, s'observe une formation finement stratifiée constituée de fins éléments de nature granitique englobant de petits blocs de granite et de basalte.
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Implantée coté Busséol, elle permet l'observation d'une magnifique colonnade de fins prismes basaltiques verticaux, surmontée de prismes en gerbes d'orientation variable. Occupé par l'homme dés le néolithique, le puy Saint-André portait encore une chapelle en ruine au milieu du XV° siècle (reportée sur la carte Cassini).
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sur l'ancien poids de ville,
place de la Molle.
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Cet immeuble du centre bourg qui semble dater de la fin du XV° siècle et dont les étages sont desservis par un escalier en vis formant tour, fut la résidence de Jean Domat, jurisconsulte réputé, avocat de Louis XIV et grand ami de Blaise Pascal.
"Inscrite à l'inventaire" à la demande de son propriétaire, elle est mise à disposition de l'ARAFA dont elle est le siège. Sur les murs de la tour figurent des portraits à la mine de plomb et à la sanguine et l'un d'eux pourrait être celui de Blaise Pascal.
___________Vue arrière ______________ Porte d'entrée en façade ___________ Croisée au 2ème étage
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L'association MIRAFLOU organise des visites guidées à travers le village. |
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